Qu’est-ce qu’une maison container

Il s’agit d’une habitation adaptable faite à base de plusieurs containers maritimes neufs ou recyclés. En d’autres termes, les containers sont des blocs métalliques transporteurs de marchandises par voie maritime.

Le cycle de vie de ces derniers s’achève lorsqu’on ne les utilise plus. Ceux-ci se transforment ainsi en une grande masse de déchets. Le concept de la maison container s’avère être une alternative écologique, vu notre situation climatique. Ces maisons servaient de logements pour les plus démunis en Chine.

Par la suite, les hollandais les ont adoptés pour en faire des résidences étudiantes pas chères. Aujourd’hui, cet habitat a séduit près de 3 000 personnes. On doit d’abord renforcer ces containers dans des ateliers afin de faciliter son aménagement. Puis, il faut réaliser une bonne isolation.

Avec une finition bien soignée, l’aspect industriel d’origine sera à moitié ou totalement dissimulé. Ce type de logement est en général dédié aux particuliers, mais pas seulement.

Il est également envisageable de l’utiliser pour faire des infrastructures collectives ou des locaux à usage professionnel. On peut aussi l’utiliser pour agrandir ou rehausser son chez-soi.

Les avantages d’une maison container

Ce type d’habitat connaît un beau succès à cause de ses nombreux avantages. En premier lieu, vous aurez à votre disposition un logement original et personnalisé. Vous pouvez les assembler et les juxtaposer jusqu’à obtenir le résultat désiré. Une simple dalle ou même des fondations en béton suffisent pour les piliers de la maison.

De ce fait, elle a donc une structure facile à construire. Êtes-vous du genre à aimer déménager de temps en temps ? Sachez que les containers sont faciles à déplacer et à démonter. De plus, il existe déjà plusieurs ateliers ou usines pour s’occuper de son aménagement intérieur.

Elle a ainsi un délai de construction court et elle est également bénéfique sur le plan économique. Concrètement, le budget moyen d’une maison avec des containers est entre 900 et 2 200 € par m2. Sur le plan technique, cet habitat est une promesse de sécurité et de robustesse.

Les containers sont conçus pour résister à l’eau, la chaleur et les autres conditions climatiques. Ils peuvent vous servir de logement pendant 40 ans et plus s’ils sont bien entretenus.

Les types de containers utilisés en construction

Il existe toute une panoplie de type de containers disponible sur le marché. Pour la construction de maison, vous avez l’embarra du choix entre les Containers Dry, les Containers Flat Rack, les Conteneurs Open Top, les Conteneurs Open Side et enfin le Container Reefer.

Les Containers Dry sont les plus utilisés par les cargos. Ils sont aussi les plus employés pour la construction. On les classe parmi les containers basiques. Vous pourrez les employer en tant que blocs principaux de votre foyer. Les Flat rack sont repliables et ne possèdent aucune toiture. Ils nous servent en général de terrasse.

Open top veut dire toit ouvert. Les navires de charge utilisent les Containers Open Top pour décharger des marchandises par le haut. Dans la construction de maison, on les utilise pour mettre au point une toiture vitrée. Cela vous bénéficiera de vue panoramique et de lumières naturelles.

L’Open Side est un container semblable au Dry. Il a cependant un côté détachable (le côté le plus grand). Ce côté détachable peut être transformé en un mur vitré. Le Reefer a la propriété d’être pré-isolé de l’intérieur. C’est celui qu’il faut choisir pour minimiser les frais d’isolation lors de la construction.

Les règlementations de construction d’une maison container

L’ensemble des régles de construction d’une maison en containers est identique à celui d’une maison traditionnelle. Il faudra toujours que vous ayez un permis de construire.

On vous recommande fortement de vous référez au plan local d’urbanisme de votre commune. Vous pouvez de même réclamer un certificat d’urbanisme. Ce dernier s’obtient après 2 mois. Il y a plusieurs caractéristiques à étudier pour pouvoir vous attribuer un certificat d’urbanisme.

On mesurera la distance d’installation de la construction par rapport aux routes communes, la distance entre la construction et les limites séparatives. On analysera aussi s’il est éventuel d’installer un toit plat ou végétalisé.

On étudiera aussi s’il est possible d’installer un bardage en bois, en composite ou autre. Il faudra ensuite que vous déposiez un permis de construire. On obtient un permis de construire après un délai de 2 mois.

Une chute constante depuis 2016

Voilà 2 ans que l’on assiste à une chute constante du taux de crédit immobilier. La tendance a commencé vers la moitié de l’année 2016. Malgré les prévisions des experts, les investisseurs ont encore pu profiter de ces offres exceptionnelles au cours de l’année 2018. D’ailleurs, en décembre dernier, certains clients des banques se sont encore lancés dans quelques projets de placement. Ce peut être en s’engageant dans un crédit simple ou en demandant un rachat de crédit.

Des prévisions encourageantes pour l’année 2019

Les analystes du marché sont toujours aussi confiants. Ils ne prévoient pas une forte hausse du taux de crédit immobilier pour cette année. C’est donc toujours le bon moment pour réaliser vos projets immobiliers rester en sommeil : acquisition d’une première propriété, achat d’une résidence secondaire, etc.
Bien évidemment, vous gagnez toujours en empruntant sur du court terme. Les crédits sur 20 ans en moyenne ont plus le vent en poupe. C’est une moyenne idéale. Ce n’est ni trop long pour permettre aux intérêts de trop s’accumuler. Ce n’est ni trop court pour être sujet à des mensualités exorbitantes.

Une augmentation progressive à partir de l’été 2019

Néanmoins, la situation actuellement ne saurait trop durer. Du moins, certains experts financiers sont sceptiques. En effet, depuis 2 ans maintenant, la courbe de BCE augmente petit à petit, sans avoir certes trop d’impact sur le marché. Cependant, la reprise est bel et bien là. On devrait voir une augmentation légère des tarifs des banques notamment vers l’été 2019.
Il importe de souligner toutefois que les taux applicables pour votre emprunt en particulier dépendent surtout de votre situation financière. Si vous présentez de bonnes garanties de remboursement, les banques seront plus conciliantes. Vous devez dans ce cas présenter des garanties réelles et personnelles sûres, justifier d’un bon revenu et d’un emploi stable.

Le capital et les taux d’intérêt

Les crédits immobiliers peuvent être des engagements sur le long ou sur le court terme selon le montant demandé et la capacité d’endettement de l’emprunteur. En principe, les banques s’engagent de vous prêter une somme plafonnée à 75 000 euros en échange de quoi vous vous devez de respecter les mensualités qui non seulement règle une partie du capital, mais aussi des taux d’intérêt. Sachez que les taux d’intérêt se fixent en fonction de la durée et du capital emprunté. Il existe sur le Net des plateformes de simulations qui vous aident à choisir les bons ingrédients pour un prêt immobilier à moindre coût. Vous pouvez même comparer les meilleures offres de prêt immobilier sélectionnés et adaptés à votre projet.

Faire la différence entre taux et TAEG

C’est justement les lacunes dans la distinction du taux et du TAEG qui pose problème aux emprunteurs. On se laisse facilement berner par les taux mensuels modiques. Mais le prix total du crédit, et donc sa modicité ou non, dépend essentiellement du Taux Annuel Effectif Global.
Le taux mensuel n’est en fait qu’un élément du TAEG. Dans ce dernier est aussi compris les frais d’assurances, les frais d’hypothèques si vous mettez votre maison en garantit et bien évidemment les frais de dossier.
Pour ce qui est des frais d’assurance, sachez que vous avez désormais la possibilité de faire jouer la concurrence entre les banques et les assureurs classiques. En moyenne, le taux est de 0,30 à 0,50 % du capital prêté pour les garanties signées auprès des établissements bancaires. Mais il faut dire que la couverture en vaut largement la peine. En cas d’impossibilité soudaine de paiement, ce sera aux assureurs de régler les mensualités. Et selon le cas, l’assurance peut même couvrir les pertes d’emploi.